Créée en 2021, SARANKOFA, est une nouvelle marque de maroquinerie haut de gamme. Sarankofa, c'est plus qu'une marque. C'est plus qu’un sac. Sarankofa, c'est une histoire ! D’amour, de liberté, de tout ce qu’il faut emporter dans son sac pour aller au bout de ses rêves.
Sarankofa c’est être aux commandes de sa vie, se déployer, évoluer, oser de nouveaux projets, se réinventer, persévérer. Sarankofa c’est se nourrir du passé pour construire l’avenir. Car nous avons tous besoin de Racines et d'Ailes.
Sarankofa signifie en langue bambara (Mali) « pour l’amour de Saran ». Saran est le nom de la mère de la fondatrice.Sa mère qui l’a surnommée « Poudre de piment », qui l'avait laissé partir très jeune pour réaliser mon désir de liberté.Sa mère qui l’avait laissé se faire pousser des ailes et qui malgré la distance, n’avait jamais cessé de croire en elle à tout ce qu’elle s’était promis. Sa mère pour qui elle voulait conquérir les étoiles pour les lui offrir consentantes et voir son front briller de fierté.La vie en a décidé autrement. De battre, son cœur s'est arrêté trop tôt, trop brusquement. Sans qu’elle puisse lui dire adieu.
Mais par les ruelles sinueuses de l'exil
Les pavés gris dessinent en arabesques
Les notes des berceuses millénaires
Qui me ramènent à la source de ton marigot
- Extrait du livre d'art/poésie Les masques parlent aussi (p.33)
En réalité, l’aventure Sarankofa a démarré il y a une vingtaine d’années lorsque la créatrice a commencé à peindre sans savoir où l’aventure artistique la mènerait. Cela l’a menée en 2014 à la publication d’un livre d’art/poésie « les masques parlent aussi ». A leur tour, ils ont inspiré la création d’ un sac au design unique avec intégration de détails de ses tableaux. La rencontre de la création artistique et de la maroquinerie a donné naissance au L'EPOQUEBAG.
Elégant, Pratique, Original, de Qualité, Utile, Ecoresponsable
MAJESTUEUSE AFRICANITE
Le sac "Majesty" est illustré avec un détail de ce tableau qui porte le nom de "Majestueuse Africanité"; un hommage à L’Afrique.
"La mère patrie
n'est pas l'amère patrie
Mais la majestueuse africanité
Berceau de l'humanité"
TROIS INTERDITS
Le sac "Liberty" est illustré avec un détail du tableau "Les Trois Interdits'" qui parle de la liberté de la femme
"Je veux parler, entendre, voir "
ENERGYEUX
Ce tableau est illustré avec un détail du tableau "Energyeux" qui parle de ceux qui pris la route de pour trouver une vie meilleure.
"Qu’as-tu à leur dérober
Qu'ils ne puissent te donner ?"
Parce ce que le chemin est le voyage, la créatrice Fatoumata Fathy Sidibé a laissé libre cours à une création inspirée de l’expérience quotidienne, ancrée dans des Racines, portée par des Ailes, nourrie par des Valeurs de solidarité, d’authenticité, de transmission, de liberté, d ’égalité, de respect, de durabilité.
Faire un lien entre ses racines africaines et ses ailes européennes.
Avec une fondatrice belge originaire du Mali, des cuirs de provenance européenne, une fabrication artisanale par une maroquinerie belge délocalisée en Afrique du Nord, la marque Sarankofa désagrège les frontières.
La marque Sarankofa fait le choix de la précommande parce qu'elle adhère à une nouvelle manière de consommer et de produire : Elle mise sur la production de l’utile, la fabrication artisanale, des conditions de travail éthiques, une démarche écoresponsable avec une recherche d’alternative au cuir d’origine animale.
L’objectif de la marque Sarankofa est d’avoir un impact sociétal positif . Car pour paraphraser le Président-poète Léopold Sédar Senghor, elle croit au « rendez-vous du donner et du recevoir ».
La créatrice de Sarankofa, là où on ne l’attendait pas
«La vie est trop courte pour n'en vivre qu'une seule»
La fondatrice et créatrice Fatoumata Fathy Sidibé est une femme, authentique, engagée, libre, créative, positive, inspirante, alignée, fidèle à ses convictions et qui va au bout de ses rêves.
Femme plurielle, elle est auteure, artiste peintre, entrepreneure, députée honoraire du Parlement bruxellois, Chevalier de l'Ordre de Léopold de Belgique.
Née à Bamako, Fatoumata Fathy Sidibé passe les premières années de sa vie entre la Belgique et le Mali avant de revenir s’installer en Belgique. Titulaire d’un Master en communication sociale et journalisme de l’Université Catholique de Louvain en Belgique, elle a travaillé dans le domaine de la communication, de l'édition, des relations publiques et du social, du journalisme, de la politique.
Comme journaliste, elle a collaboré à de nombreux magazines belges et étrangers. Elle a été durant plus de quinze ans correspondante permanente de presse en Belgique du magazine français Amina. En tant que responsable de projet au sein d’une association d’éducation permanente, elle a organisé des colloques et de conférences, mené des projets avec la société civile, les politiques, les ONGS, le monde académique. Elle a initié et coordonné des études et publications concernant la problématique des femmes issues de l'immigration, collaboré à des ouvrages collectifs concernant enjeux de société.
Comme consultante pour des organisations non gouvernementales ,elle a participé à la préparation de dossiers, à la rédaction du rapport de mise en oeuvre de projets dans les domaines de la santé de la reproduction et du soutien à l’autonomisation des femmes rurales. Militante, elle a cofondé en 2006 et présidé durant trois années le Comité belge Ni Putes Ni Soumises (Wallonie-Bruxelles) sous la bannière laïcité, mixité, égalité. Elle a lancé et coordonné la publication du Guide belge du respect, un outil pratique pour « construire le vivre ensemble, filles et garçons, égaux en droits et en devoirs » et du Kit du Respect, un outil d’animation pédagogique à destination des structures éducatives et associatives.
Députée au sein du Parlement régional bruxellois de 2009 à 2019, elle a porté avec conviction, cohérence et constance des combats féministes, humanistes, progressistes et laïques, soutenu et initié de nombreux textes de lois concernant les droits humains en général et en particulier les droits des femmes. En mars 2019, elle a décidé de ne pas me représenter aux élections et de quitter la politique pour s’ouvrir à d’autres horizons.
Comme auteure, elle a publié son premier roman Une Saison africaine aux Editions Présence africaine en 2006 (Paris); un livre d'art/poésie, Les Masques parlent aussi publié à Bruxelles en 2014 et un essai/témoignage La voix d’une rebelle, publié aux éditions Luc Pire 2020 (Bruxelles). Certains de ses poèmes ont été traduits et référencés.
Artiste peintre, elle déploie également sa créativité dans l’entreprenariat en lançant une marque en lien avec l’art : Sarankofa.
« Je suis résolue, passionnée et optimiste. Et mes rêves ne s’épuisent pas. Chaque expérience est une occasion d’aller plus loin, de développer un GPS émotionnel, d’être honnête et fidèle avec soi-même, de conduire la locomotive de sa vie, d’avoir le pouvoir de dire non quand, après avoir écouté l’instinct qui nous guide – un ressenti, une impression, un chuchotement, un questionnement, une certitude –, une voix dans notre cœur nous guide vers la lumière, nous apprend à lâcher prise car il y a autre chose qui nous attend ». - Extrait de La Voix d’une rebelleEd. Luc Pire, Bruxelles sept 2020